Histoire

Quinn Owen, 26 ans... Le bon âge pour faire un retour sur toute ma vie vous ne trouvez pas?

Enfance:

J'étais une petite fille modèle, le genre de petite fille que tout parents aimeraient avoir. Bonne à l'école, j'adorais mettre des robes, faire comme maman et à ce moment là je rêvais d'être une danseuse étoile. J'étais une vrai fille à papa, toujours dans ses jambes, il était un grand chirurgien alors quand il était à la maison j'étais tout le temps avec lui.

Adolescence:

La vie commence à se montrer difficile. Maman, tombe malade une sclérose en plaque foudroyante, elle ne tardait pas à finir dans un fauteuil roulant. C'est là que mon avenir se traça, je voulais devenir médecin, je voulais sauver ma mère, la retrouver avec sa joie de vivre... Mais je n'en eut pas le temps, elle sombra dans la dépression et un jour elle s'endormit sans se réveiller, son coeur ne battait plus, elle avait finis de se battre.

Passage à l'âge adulte:

Ma mère décédé, mon père passant ses journées complète à l'hospital, je construisis seule mon avenir, après l'université, je passais par les études de médecine jusqu'à arrivé à l'internat. Mon père eut alors la surprise de me voir arriver à l'hospital et il n'en était pas peu fier... J'étais des internes celles dont on parlait le plus et en bien. Ma petite soeur, elle, était encore au lycée et venait d'en changer pour la troisième fois en six mois à peine.  

L'apocalypse.

J'étais à l'hospital quand ça c'est passé. En pleine opération cardiaque pour être précise... Je venais de sauver une vie lorsque la terre c'est mise à trembler. L'hospital a commençé à partir en poussière, des murs qui s'écroulait et alors que le plafond allait me tomber sur la tête, c'est mon mentor qui a plongé droit sur moi, me faisant tomber au sol avec lui. Ensuite ce fut un long moment d'inconscience pour moi et à mon réveil, je ne pensais qu'à essayer de sortir. L'hopital était à terre, je ne récupérais qu'une couverture de survie, un sac remplis de médicaments avant de m'en sortir... J'eu du mal, les sorties étaient bloqué par des débrits, il me fallut un certains temps pour m'en débloquer. A ma sortie je m'attendais à me prendre une lumière du jour en pleine face mais non. La poussière, c'est tout ce que je voyais, de la poussière qui formait une brume autour de moi. Alors je commençais à marcher droit devant moi, trouvant des tas de cadavres. Il me fallut un certains temps avant de croiser une personne vivante.
C'était Cameron Giardinelli, Coach sportif de profession et aussi ré-éducateur de Nancy ma patiente que je venais voir régulièrement pour juger de l'avancer de sa guérison. Nous nous détestions lui et moi, pour des raisons qui nous était propres. Je le trouvais beaucoup trop macho, il avait beau avoir une sacré belle gueule, il n'en restait pas moins terriblement macho.

Pour le coup aussi surprenant que ce soit, j'étais contente de le voir, enfin un être vivant ici, je n'étais donc pas seule! Prenant la route ensemble, nous avancions vers l'avenir.